HALER AU BOUTE – Printemps 2026

Haler au boute, littéralement : "Aller chercher l’épanouissement personnel"

C’est un projet de traversée de l’Atlantique Nord à bord d’un VOILIER MARIN avec des étudiants et du personnel de grandes écoles formant les Marins de demain.

Départ depuis le QUÉBEC « Rimouski ». Arrivée en FRANCE « St Malo ».

Une équipe inclusive, internationale focalisée sur l’essentiel :

LES VALEURS HUMAINES.

Une expérience unique qui invite chacun à sortir de sa zone de confort et se rapprocher de ses limites.

De Rimouski à St Malo en passant par St Pierre et Miquelon et Ouessant.

Distance environ : 2 820 miles (5 230km)

QUI ?

Pour ce transit, la composition de cet équipage inclusif  franco-québécois sera composé :

– Des 2 initiateurs : Nicolas et Jérôme

– 2 enseignants, 1 québécois et 1 français

-1 étudiant de l’Institut Maritime du Québec  

-1 étudiant de l’École Nationale Supérieure Maritime.

Les étudiants devront être des volontaires et seront soumis à une sélection.

Nicolas QUENTIN 

Ancien navigant professionnel, enseignant à l’ENSM, porteur du projet. Nicolas a pu parcourir les océans les plus hostiles tels que les 60eme Sud mais a également réalisé un hiver au milieu de l’océan Arctique. Nicolas doit toutefois adapter ses activités car il vit une maladie inflammatoire, provoquant des douleurs parfois intenses au niveau des articulations.

nicolas.quentin@supmartime.fr

+336 834 613 48

 

Jérôme GABORIAU 

Ancien navigant professionnel, enseignant à l’ENSM, président et fondateur de l’association Mario et Mimo ; Association qui récolte des fonds pour des enfants atteints de maladies rares. A son compteur, une traversée, à pied, de la France d’Est en Ouest en solitaire en 2019 ainsi qu’un tour de France en 2023.

jerome.gaboriau@supmaritime.fr

+336 618 673 73

OU ?

Le départ se fera depuis la ville de RIMOUSKI, dans la province du Québec sur les bords de la rive sud du Saint Laurent. Siège de l’Institut Maritime du Québec.

L’équipage rejoindra Saint Pierre dans l’archipel de Saint Pierre et Miquelon positionné à la sortie du golf du Saint Laurent, au sud de Terre Neuve. Cette dernière escale sera l’occasion de saluer la communauté française d’outre Atlantique vivant au sein d’un environnement baigné d’une incroyable nature et territoire qui est grand par son histoire et identifiable comme « trait d’union » entre la France métropolitaine et le Canada.

Le trajet sera réalisé sur l’Atlantique Nord, en suivant une route la plus orthodromique (suivi de la courbure de la planète) tout en devant s’adapter au vent.

Ouessant sera la première terre marquant la fin de cette traversée Océanique. Ouessant étant historiquement une terre ayant une empreinte marquée par des générations de marins ayant posé sac à terre et surtout, Ouessant est la première Terre française après St Pierre et Miquelon et elle est  de fait le point atterrissage remarquable avec le phare le plus puissant d’Europe : Le Créac’h.

Le dernier transit sera pour rejoindre Saint Malo. Ville portuaire d’où Jacques Cartier était lui-même revenu avec les premiers liens faisant d’aujourd’hui la grande amitié entre le Québec et cette ville. Saint Malo est également la ville qui a permis de nourrir les populations avec les poisons rapportés par les pêcheurs qui eux-mêmes avaient pu faire relâche dans l’archipel de Saint Pierre et Miquelon.

COMMENT ?

Pour mener à bien ce transit, il est nécessaire d’avoir un NAVIRE. Un voilier adapté à la navigation hauturière. Ce navire démontrera par sa fiabilité et témoignera du savoir-faire de l’industrie nautique française envers les marins d’outre Atlantique. Ce voilier accueillera les 6 marins avec tout le nécessaire pour rester en autonomie sur une durée supérieure à trois semaines. On pensera au matériel de sécurité mais aussi aux vivres et à l’eau potable. Et évidement à l’habitacle qui sera le refuge des navigants qui seront exposés aux conditions climatiques et de l’océan.

POURQUOI ?

Un projet de transat n’est pas un exploit et il n’a pas pour objet d’être assimilé tel quel. Ce projet fait sens par des aspects centraux :

SOUTENIR

SOUTENIR un projet universel, à travers une action caritative en bénéficiant, entre autres, de la générosité et la solidarité du monde maritime.

INCLUSIVITE

Le projet démontrera la capacité de réaliser la traversée avec un équipage divers par sa culture, son âge, la situation de handicap en pensant à l’ADAPTATION en amont. Si tout le monde ne peut pas naviguer, tout le monde doit pouvoir rêver au travers de ce projet. Il nous incombe d’apporter ce rêve auprès de tous.

AMITIE

L’amitié est le sentiment illustrant la capacité à illustrer de belles actions.  

Jérôme GABORIAU et Alexandre OUELLET ayant réalisé un échange d’établissement de formation maritime entre :

L’Ecole Nationale Supérieure Maritime « ENSM »

et

L’Institut Maritime du Québec « IMQ »  

Leurs missions dureront une année scolaire. Il est donc opportun de marquer cette fin de mission par le transit qui ramera Jérôme via le moyen de transport le plus écologique qu’il soit et en mettant en pratique le métier de ces enseignants : Faire avancer des navires de manière responsable tant pour la sécurité que pour l’environnement.

SAVOIR FAIRE

Parce qu’il est bon de souligner la capacité à certains individus de transmettre un savoir qu’est l’art de la navigation. Ce projet sera ainsi l’occasion de mettre en lumière l’exercice de la transmission de savoirs entre des enseignants et des étudiants et ce de cultures différentes. De plus, la France sait construire de bons Navires. Sachons les mettre en lumière et ainsi en faire profiter au plus grand nombre.

HUMAIN

Parce qu’en premier il s’agit de personnes qui s’engagent pour vivre une incroyable aventure.

OCEAN

70 % de notre planète est couverte de l’OCEAN. Parce que l’OCEAN est l’élément permettant de vivre et parce que l’OCEAN est l’élément reliant les personnes.

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